D’abord, en leur faisant croire qu’ils sont libres de naissance.
Donc libres de leurs choix, tous domaines confondus, dès le plus jeune âge.
Leur liberté n’est pas à conquérir. Aucun interdit, perçu comme une limite à leur bien-être.
Surtout matériel. Tout à profusion pour les enfants, avec un diktat : « Tu seras hyperconsommateur, mon fils ! ». Priorité éducative absolue : « Tout ce que tu veux, tu l’auras »
La consommation des écrans se trouve au centre, ici.
Smartphones confiés aux enfants, exposés au pire de plus en plus jeunes.
Sous le regard naïf, complaisant ou ignorant des adultes.
Précisément, la première étape vers l’addiction est celle-là.
C’est toute la différence entre les familles qui laissent les écrans envahir l’enfant et celles qui cadrent leur pratique.
Éduquée à l’addiction, cette génération d’adolescents est soumise aux besoins impérieux.
La règlementation relative aux écrans arrive tard… pour le moins !
À l’adolescence, l’enjeu est de taille : au moment où ces jeunes se sentent seuls, les réseaux dits sociaux sont installés pour leur faire croire à une vie sociale !
Quant aux substances, ils disent que l’exemple leur vient de la génération de leurs parents qui en consomment et adoptent sur ce plan un discours « léger ».
Tom,12 ans affirme : « Ils n’avaient qu’à pas commencer ! ».
Temps addictifs… Éduquer à la liberté est aujourd’hui devenu une priorité éducative.
À partir d’un adage un peu oublié : « La liberté des uns s’arrête là où commence celle des autres ».
Ainsi, conquérir sa liberté suppose celle de sa propre responsabilité.En adultes, transmettons-le !
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